Dans la vie, on se déplace rarement en touriste dans notre ville. Les trajets quotidiens nous amènent du point A (maison) au point B (boulot), mais bien souvent, on s’arrête à un point C ou un point D.
Jessica aime par exemple s’arrêter à la Bibliothèque Nationale du Québec en repartant de son travail. Patrick s’entraîne tous les jours à la piscine du Parc Jean-Drapeau et traverse le pont Jacques Cartier depuis le Village pour cela. Vicky s’arrête chez son fleuriste préféré du Marché Jean Talon pour proposer des arrangements à ses clients : des futurs mariés préparant leurs réception. Jonas fait tout simplement l’épicerie avant de rentrer à la maison.
Il y a tant de raisons de considérer ces choses impossibles à faire en vélo. Et pourtant, avec un Tern HSD, c’est plus que réalisable ! La motorisation assiste le cycliste pour qu’il n’y ait pas de «trop loin». La plateforme d’accessoires rend possible ces scénarios pour qu’il n’y ait pas de «trop à porter».
Possible. C’est le mot clé. Le Tern HSD fait partie de ces vélos qui rendent les déplacements sans autos non seulement envisageables et crédibles, mais agréables, sympas, plaisants.